Il y du soleil sur mon écran et j'ai mal au pied. Comment voulez vous que j'écrive quelquechose de cohérent.
Je vient de faire ma prommenade matinale dans mes blogs préférés. J'en reviens "chiffon". Parce que ces deux lumières ont un foutu talent qui me réjouit quand je les lit et qui me glace quand je me mêle d'écrire. Si vous ne me croyez pas , allez donc faire un tour chez Marino et chez Paulita, vous verrez... Certains jours, vous aurez envie de les prendre dans vos bras, de les serrer fort pour qu'elles reviennent à la vie, à leur vie, à votre vie. D'autres jours, elles vous feront peur parce que vous ne trouverez pas les mots pour être à leur hauteur. Elles viendront quelques fois vous mettre une bourrade dans le dos ou une caresse sur la joue pour vous faire redémarrer. Elles seront là, sans détours.
J'ai fais ce blog, un jour parce qu'il me semblait que je pourrai y racconter mes histoires. Je me suis vite apperçu que ce qui m'importait surtout était les rencontres. Les gens qui prennent la peine de s'arreter sur votre bout de trottoir, pour vous faire un sourire. Je sais, c'est tout con mais tant pis, j'assume. J'aime les petits signes qui remplacent les mots et guerrissent les maux. je suis heureux de mes rencontres, je les garde précieusement, enfin, j'essaie.
Je reviens de ma promenade. Quelqu'un, derrière moi, sourit.
- Comment vont-elles, aujourd'hui ?
Je souris. C'est mon jardin, ça . Il n'est pas secret mais c'est à moi.
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