Chapitre 18
La Belgique (suite)
Sétait navrant de voir encore des chevaux morts que l'on avait enterré que les cadavres. Nous avons fait toujours trois kilometres de ce champ. Falais bouché le nez quil ny avait pas moyen de respiré de cette audheur de sang humain, le cinquième jour après le combat. Presqu'au bout de cette plaine nous avons trouvé un petit estaminé, sait a dire auberge. Nous y sommes rentré pour y prendre un verre.
Voilà quand sortant nous appersûmes une autre patrouille à cheval juste sur notre passage à un kilometre de nous. Mon camarade sétant donné au desespoir voulait se sauver dans la plaine mais notre guide a dit faut avoir du courage, au contraire, faut y aller droit et du sang froid. Sait ce que nous avons fait. Quand nous sommes arrivé à sa rencontre ils était arrété à un petit ruisseau qui abreuvé leurs chevaux. Moi que javais un cigare pris à Sedan que je navais pas entamé ni même idé, javance verl'officier, lui fesant signe du cigare sil naurait pas des allumettes. Desuite en sort une boite de sa poche et m'en a donné. Alors je le remercie et en passant tout le long du ruisseau nous regardions ses chevaux et nous disions entre nous à haute voix, voilà des jolies chevaux et vous pouvez croire que nos paroles nétait pas du fond du cœur car il nous tardait de les perdre de vue.
Alors nous avons traversé un petit bois et à la limite de la Belgique était séparé par un petit ruisseau avec une planche pour passerelle. au millieu de la passerelle il y avait un drapeau, alors arrivé au drapeau je fis un saut de lautre coté et jedis à haute voix merde pour les Prussiens. Comme sétait le lundi matin lendemain de la fête de ce village, il y avait au bor de ce ruisseau, sur le gazon des gens qui fesait la collation. Tous il nous regarde mais personne ne nous dit rien sauf à l'entré du village nous sommes rentré dans un café. Là est venu une dame, ma frappé sur l'épaule et me dit vous êtes des soldats français mais il ne vous faut pas dire comme tout a l'heure car se matin la Belgique à recue un ordre d'arreté tous les français qui métrés pied sur le territoire.
Alors nous lavons remercié et nous y avons demandé le chemin le plus court pour nous rendre à Givé ville française. Après avoir pris un café nous nous sommes séparré de nos guides qui nous ont mis sur la route que nous avions 15 à 20 kilometres pour arrivé à un petit village que je me rappelle plus le nom. Nous y sommes arrivé à la nuit. Sitot arrivé nous avons demandé une auberge pour manger un morceau et y reposer un peu . sitot rentré nous lui avons dit de nous faire cuire deux œufs à chacun et un peu de pain. On nous ser à table a coté deux civils qui buvait une choppe. Voila qu'on nous ser une choppe de bierre à nous autre aussi pour manger. Moi jappelle l'autesse je demande sil navait pas du vin au lieu dela bierre . elle me répond si mais sest 2 francs la bouteille sest a dire les trois quart du litre. Alors je lui ait dit que nos moyens ne le permettait pas à ce pris. Nous nous somme contenté de la bierre. Voilà que ces civils sont rentré en conversation avec nous. Nous ont dit vous êtes du midi de la France. Nous y avons dit oui, le vin cest ce que nous regretons le plus.
Après ces deux individu son parti nous disant bon soir. Un moment après rentre quatre gendarmes Belge pour diné à notre table. Sa nous fit la frousse. Nous avions fin notre repas. Nous avons dit à l'aubergiste de nous donner un lit que nous étions fatigués mais elle nous répon quelle en avait quelle été obligé de loger ses quatre gendarmes. Et nous contant quon ne nous dise rien, nous lui payons notre soupé et partimes. Voilà arrivé au fond de la basse cour prés de la porte y avait foule des gens et quatre soldat et un sergent et les deux civils qui buvait à notre table. En s'adressant au civil jai demandé une autre auberge. Nous on dit decendez laba vous la trouverez. Sétait une belle promenade pleine des arbres et fesait lune comme le jour.
Nous fimes cent à deux cent metres et ses soldat derrière sans rien nous dire. Alors je me suis retourné et jai dit quel beau temps, jolie clair de lune. Alors le sergent me dit où allez vous. Nous cherchons à loger. Il nous dit vous etes des soldats français, nous sommes fordcé de vous arrette. Alors moncamarade à insulté ces deux Prussiens qui étaitr aller chercher ce poste à 2 kilometre du village pour nous faire arretté.
A suivre
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