Chapitre 20
L'errance continue.
Nous nous sommes rendus à la place militaire qui nous a mis à la citadelle pour former un détachement pour nous rendre au camp de Béverloo. Nous y sommes rester jusqu'au neuf septembre au matin qu'ont nous fit partir avec leurs chevaux. Chacun des chevaux français qu'on avait ramasser sur la frontière. Vous pouvez croire que je n'était pas à mon aise. Plusieurs y monté dessu tout le long de la route mais moi et beaucoup d'autres nous les conduisions par la figure avec un simple licol. Croyez le que je n'était pas à ma pièce et de dire qu'il nous fallait faire quatre étappes . la 1ère à hannut le 2ème à st Trom la 3ème à Masseht et la 4ème au camp.tout le long de cette route nous fûme bien reçu de la part des habitants. Le peu qu'ils nous offrait sétait de bon cœur . se pays doit être pauvre rien qua voir leur manière de vivre. Faut que je vous racconte ce qui nous est arrivé à st Trom. En y arrivant ont nous donnent un billet de logement chez une modiste que son mari était flamand travaillant dans une usine. En arrivant chez elle, elle a été nous chercher du café et a coupé quelques tartines avec un peu du beurre et nous dit français s'est du bon cœur manger en mais ne voyant pas de sucre nous navons pas ozer à en demander. Nous avons pris demi verre du café et mal ou bienavec une tartine nous lavons fini. Mais cette brave femme nous prié toujour français vous ne l'aimer pas. Nous y avons fait toutes nos excuses possibles. Alors elle nous dit au moins de revenir à six heure du soir que son mari serait contant de diner avec des français. Au mon de ne pas le faire attendre. Nous y avons promis.
Nous allons faire un tour dans st Trom et puis nous serrion à l'heure. Sitot avoir pris congé d'elle nous avons dit faut aller prendre un café au grand café de sur la place. Nous avons dit peut être ici on nous le servira avec du sucre. Grande surprise encore en rentrant. Belle sale de café comme en France, nous avons demandé un café. Probablement notre huniforme d'habit ne leur a pas bien convenu pour nous laisser avec ses messieurs qui était entrain à prendre la bierre. Nous fit decendre deux escaliers dans une chambre où lon donnait à manger à une table de trois metre de longueur. Et elle nous apporte deux verres et une cafetière d'un litre édemie pleine et une pleine assiette du sel gros. Nous nous sommes regarder tous les deux sans rien dire.quand elle eut monté l'escalier, nous avons pris un grain de cette matière croyant que peut etre sétait une qualité de sucre. Mais après dégustation, sa était le vrais sel. Alors nous avons frappé et nous y avons dit ci elle se moquet de nous que nous voulions du sucre non du sel. Alors elle nous dit venez voir ses messieurs qu'ils ont le sel sur la table. Elle nous apporte du sucre et nous prîmes un verre de café et 3 grains de sucre et nous lui avons fait prendre sa cafetierre . nous avons demandé le montant 12 centimes chacun je lui donne cinq sous ma rendu un centime. Là nous avons vu que le pays devait etre pauvre.
A suivre
Prisonnier.
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