Chapitre 24
Le retour
…heure qui n'était pas jour. Nous y étions sept cent et voilà qu'on en à pris que cinq cent. Les autres deux cent, à fallu rentré de nouveau dans les chambes. Vous pouvez croire que sa nétait pas agréable pour nous sachant les bétises qu'on avait fait. Mais encore nous ignorions les saloperie de la cuisine jusqu'à ce qu'un officier est venu nous lannoncer et nous adit parmis le nombre il y en a qui mérite pas le nom de français. Et nous a dit faites comme vous pouvez pour aujourd'hui. Sortez en ville soyez demain matin à cinq heure à la gare on viendra vous conduire à Lille.
Voila une journée de honte pour nous. Nous sommes sortis en ville toute la journée mais on nozait pas dire que nous étions des français.les Belges ne méritait pas les crasses quils y on faite nos soldats. Le lendemain nous avons embarqué sur le train. Quand le train est parti quelque zun nous avons dit à dieu au Belges et mercie de leur hospitalité mais un autre grouppe dans un vagon voisin, ils criét à haute voix merde pour la Belgique. Pour en finir nous avons de bien mauvais gars dans notre armée et ce que je croyer qua notre arrivé les officier qui nous conduisé nous ferait punir. Mais tout le contraire ont été très gentils en vers. Nous voila arrivé à Lille le 10 mars 1871 à deux heure du soir. Campagne terminé.
C.Fabre
Epilogue.
Départ de Lille pour se dirigé vers le pays. On ma donné ma feuille de route et payer l'indennité jusqu'à Rodez. Je suis parti le 16 mars à huit heure du matin en passant par Douai et Cambray et arrivé à dix heure du soir à St Quentin ou nous y avons couché avec un billet de logement chez un sélibataire qui nous à conduit à un hotel à ses frais. Le lendemain nous sommes reparti sur Paris ou nous y sommes arrivé à trois heure du soir à la gare du nord. De la nous avons pris une voiture pour aller à la gare d'Orléan. Mais comme nous ne connaissions pas les habitudes de ses correspondances, nous sommes resté sur la voiture jusqu'à son arret. Quand nous nous sommes arreté nous avons demandé au cochet sest ici la gare d'Orléan, nous a dit que nous en étions aussi loin que de la gare du nord. Nous a dit quil nous aurait fallu décendre au 2ème bureau quils ont crier à la gare d'Orléan. Sétait pour decendre et nous autres avons cru le contraire que l'on appelait pour y aller. Enfin il nous à montré le chemin en suivant la seine et nous à dit vous traverserais la seine en face le cors législatif et puis suivre l'autre coté le jardin des plantes. Sitot après la gare d'Orléan était proche. En face la gare nous nous sommes séparé avec mon camarade Gourgeaud quil allait plus loin dans la même direction à la gare de Lyon.
La jai attendu jusqu'à neuf heure du soir que le trian est parti. Je ne puis guerre donner des détail de Paris du peu de séjours que j'ait fait. Nous sommes passé à une jolie place que nous y avons remarqué des grandes statue représentant les principales ville de France. Ce que nous y avons remarqué les deux statue d'estrambaure et de l'est quelles était coiffé d'un crèppe noir. Sa sétait bien triste on ne pouvais pas les regarder qu'avec les larmes au yeux. Et puis Paris était bien triste. Sétait la veille de la commune aussi il nous tardaait de sortir. Le soir à neuf heure nous avons quitté la gare. Avons passé la nuit dans le train et le lendemain 18 nous sommes arrivé à Brives la gaillarde qui a fallu y couché. Sest là quon nous à annocés la révolte de Paris. Aussi le lendemain je suis arrivé à Rodez ou je devais aller touchés mon indennité de route jusqua La Roque mais de crainte qu'on me fasse faire demie tour sur Versailles je ne suis pas été à l'intendance.
J'ai pris la voiture pour Millau et la Roque ou je suis arrivé le 19 mars 1871 à l'entré de la nuit ou j'ai repris mon travail à faire du pain.
J'ai dit que j'avais quitté la Roque le 20 juillet 1870 et je sui revenu le 19 mars 1871 soit huit mois d'absence pour faire cette triste campagne si triste pour nos armée.
Fin
C. Fabre
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