Chapitre 23
La citadelle
J'ai dit que nous étions arrivé à Liège le six octobre 1870 à l'entrée de la nuit. Le lendemain nous croyons pouvoir nous aller promener en ville mais la porte nous a été fermée. Voilà le travail qu'on nous avait promis chez les civils se nétait que pour nous tromper, pour que nous ne désertions pas en route ou en arrivant à Liège. A fallu se contanter de se promener sur les rempart de la forteresse que sétait assez agréable, mais cela na pas eu de duré vue que dans quelques jours on a trouvé une fuite par les lieux d'ésance qui se trouvait sur les rempart par moyen des dra de lit. Alors on nous a consigné les rempart et on nous a mis des barbés servant au lieux d'ésance, dans l'enceinte du fort qui allait aboutir à une porte qui sortait en ville. Cette porte était en fer et fermé par un pivot en fer d'une bonne grosseur.
Voilà que dans quelques jours quelques uns on prit de brisé se fer avec une lime et nuit et jour un travaille et un autre garde. Voila qu'une fois brisé le barrau, sont passer dans toutes les chambres pour nous dire secrètement de se tenir près sitot après l'appel de neuf heure du soir que nous sortirons en ville et qu'il y aurait un train spécial pour nous rendre à la frontière. Mais ce projet a été vendu. Du temps de l'appel dans les chambres un poste a était à la porte. Il ny eut que les deux qui garder la porte qu'a la vue des soldats se sont en fuit en ville.
Alors notre projet perdu, le lendemain on referme cette porte et on y met un centinelle pendant le jour et pendant la nuit, on nous met les barbé dans le colidor de la caserne et la porte appartir de neuf heure du soir. Croyez que la chose n'était guerre agréable mais si on nous fesait de misère sétait de notre gagnée.
Ce projet fini, dans la chambre voisine qui avait des lits de camp, on commence un autre projet. En face d'une croisé que parterre il y avait une paillasse pour un homme, on la lui laissé toute la journée et la nuit on la levé et on y trvaillé toute la nui avec quelques petits instruments pour miner. Avec des gamelles de campement on apporte la terre sous les lits de camps. Les voila arrivé jusqu'au rempart.
Ce projet a été de nouveau vendu. Voila qu'au matin un officier est venu dans notre chambre nous demander s'il ny avait pas des couvertures en trop. Alors il passe dans la voisine et fait la même réclamation mais en donnant un cou deuil sous les lits de camp, sans rien dire sort. Sitot après on sonne le rappel. Tout le monde dans la cour, une fois dans la cour un capitaine du génie et le commandant du fort avec une compagnie de soldat en armes rentre dans la caserne laissant les soldats sur la porte pour empécher que nous rentrions. Le commendant et le capitaine du génie sont aller prendre connaissance de ce travail, qu'a son retour nous a déclaré qu'il ne savait plus quoi faire pour nous surveillé. Alors on nous a mis un…
Manque une page
A suivre
Retour en France.
Les commentaires récents