Chapitre 21
Prisonnier
En partant ses messieurs nous ont arreté pour prendre de la bierre avec eux. Et on nous a causé très amicalement. Nous y avons dit que nous regrétions le vin autrement la Belgique nous paraissait très agréable et surtout que partout nous étions traité en amie. Alors ce monsieur nous a dit qu'il avait fait ses claces en France et qu'il nous verrez se soir diner avec moi nous boirons du Bordeaux. Mais comme nous avions promis à la modiste nous lavons remercier infiniment. Il est venu nous conduire au n° du logement leur dire quils nous prenait pour diner mais arrivé à la porte la modiste vint ouvrir et à notre vue ha ha vitte français mon mari vous attens. A cette vue nous avons dit bonsoir à ce monsieur et nous sommes aller à table où on nous attendait.
Nous nous trouvons en présence d'un plat de salade verte coupé à petit morceau avec de la viande et un autre plat plein de pomme de terre cuites plumé. Alors on nous pris français servais vous mais ne sachant comment faire nous y avons dit servez vous. Nous navons pas bien faim. Alors ils ont pris une de cette salade et les pommes de terre tenait la place du pain. Nous avons comme eus et vous pouver croire que nous avons eut du remord de nêtre pas allez chez le monsieur du vin de Bordeau. Voila le premier repas que nous avons fait sans pain et avec tout cela on ne pouvait pas se facher car ont voyer que sétait leur existence et bien aimable pour nous.
Enfin je dit que nous sommes arrivé au camp le 12 septembre au soir. Voila que nous fumes placés au quartier de la cavalerie pour aider à soigner ses chevaux que nous avions amenés de Namur. Là nous fumes traités comme les soldats belges.sa nourriture sa solde et couché dans des barraques. Nous y étions assez bien comme couché mais pas trop bien de la nourriture car les soldat belges ne sont pas si bien nourri que nous en France.
Voici sa manière de vivre. Au réveil on nous donne ¼ de café sans sucre, à midi un bon bouillon de viande mais sans pain et une portion de viande comme en France. Le soir à cinq heure une demie gamelle des pommes de terre cuites à leau. Cette nourriture nétait pas suffisante, nous avons réclamer de faire notre cuisine à la mode française. On nous la autorisé. De suite nous sommes été mieux, notre café sucré, du painet des légumes à la soupe et le soir du rata ou de la soupe comme en France et du pain meilleur que celui de ses soldats car comme je lais dit plus haut, les soldats belges manger du pain très noir.
Enfin je suis rester au camp de Beverloot jusqu'au six octobre qu'a midi sont venu nous dir que tous seus qui étions en costumes sivil de faire nos baluchons et de ce metre sur les rand pour partir à Liège. Que des civils de la ville nous demande pour travailler. Pour moi je suis été plus que contant car il me tardait dabandonner ses carcant de chevaux que je ferais un très mauvais cavalier surtout pour aller à l'abreuvage ne pouvant monter dessus.
Enfin jai dit quon nous pris du camp tous les habillés en civil par ceque tous les jours ily avait des manquant et de crainte que nous lui échapions en route nous on promis de nous placer chez des civils.
A suivre
Prisonnier encore
Les commentaires récents