Chapitre 17
Périple en Belgique
Enfin moi et mon camarade Gougeau, nous navons pas souffer chez le boulanger jusqu'au 3 au soir qu'il a falu évacuer la ville pour aller camper hors de la ville dans un camp gardé par les Prussiens. Sétait bien triste de voir tout le monde sans armes falloir ce rendre au camp dans la boue beaucoup sans tente que l'on avait quitté sur le champde bataille. Moi sétait mon plus grand chagrin mais heureusement pour moi et mon camarade nous en avons échapé comme je vais l'expliqué. Notre tour des ouvriers n'est venu que le trois septembre à l'entré de la nuit, de sortir de la ville. Alors nous nous y sommes rendu au près de la porte. Là nous a falu attendre notre tour. En ce temps là un officier de chez nous est venu nous demander seus qui voudrait rester pour soigner les bléssés. A cette nouvelle avec mon camarade nous nous sommes empréssés pour y resté car on nous a dit que nous nyrions pas en Prusse. Alors on nous a mis un brassar de la croix rouge sur le bras et on nous conduit au colège de Sedan où se trouvait beaucoup de bléssé.
En y arrivant on nous fait attendre dans la basse cour pour aller prendre des ordres. Dans un moment le sergent est venu et nous demande s'il ny avait pas des boulangers. Nous sommes été douze. Alors on nous à conduit à la manutention pour faire du pain pour les blessés. Nous y avons travaillé la nuit du 3 au 4 et la nuit du 4 au 5 et le 5 au matin nous sommes aller promener la ville où nous avons trouvé un artilleur qui navait pas de brassar. Nous lui avons demandé pourquoi il était en ville. Nous dit qu'il était sorti ce matin de l'hopital et qu'il partirait le lendemain en Prusse.
Cela nous a fait réfléchir. On nous avait dit qu'au fur et a mesure que les blessés seraient guéris il rentreraient en France, et nous autres aussi. Dela nous sommes aller près de la porte de la ville du côté de la Belgique voir les grimasses que faisait les sentinelles au civils qui rentraient ou qui sortaient. Alors voyant qu'il ne disaient rien a personne, nous sommes aller trouver notre boulanger pour lui faire part de notre projet et nous y avons demandé sil ne pourait pas nous procurér des effets civils pour pouvoir passer en Belgique. Desuite le boulanger et un relieur nommé Constant qui habitait dans la maison, nous habillent.
Sitôt après nous sommes été nous faire raser nos moustaches pour nêtre pas reconnus par les Prussiens car nous avions le poste à traverser. Voila que le sieur Constant nous a favorisé pour notre fuite car ce jour là devait aller prendre sa femme qui était en Belgique depuis les premiers jours de combat. Alors le 5 septembre à midi edemie nous avons quitté Sedan avec le sieur Constant et le fils du boulanger en costume de collégiens dans la direction de Corbillon à 12 kilomètres premier village Belge où nous sommes arrivés à trois heure édemie du soir mais pas sans avoir eu peur car on nous avait dit que si nous étions arreté en civil nous serions fusillés sur le champ.
Voila qu'au poste de la ville, l'officier de garde nous demande où nous allons. Je lui ait dit tout résolu, nous allons chercher nos femmes quelles sont en Belgique et leur apprendre que la ville à capituler et que nous sommes pas morts. Alors il nous a laissé passer. Mais nous nûmes pas fait un kilometre nous sommes de nouveau arrete par une patrouille de hullans et des gendarmes français qui fesait enterer les morts. Celle là nous arrete sur la demande des civils qui nous on dit venez faire comme nous aulieu d'aller vous promener. Alors monsieur Constant leur dit, nous avons enterrer ce matin jusqu'à onze heure près de la ville et l'on nous a donner la permission daller chercher nos femmes en Belgique. Alors nos gendarmes ont fait comprendre aux hulants que nous avions la permission et nous fait signe de partir.
Après nous avons traversé un champ de bataille ou on avait ramassé des piles de chassepots de tout le long de la route. Sétait comme près d'un bois quand on a fait la coupe.
A suivre
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